Je souhaite juste à chacun, ainsi qu'à moi-même ;), d'ouvrir les portes de ces cages qui nous enferment et de pouvoir admirer le vol de cet oiseau sans plus aucune peur, mais juste de l'amour, pour toutes les formes de vies qui nous entourent.
mercredi 23 décembre 2009
L'amour est un oiseau qui vole!
Je souhaite juste à chacun, ainsi qu'à moi-même ;), d'ouvrir les portes de ces cages qui nous enferment et de pouvoir admirer le vol de cet oiseau sans plus aucune peur, mais juste de l'amour, pour toutes les formes de vies qui nous entourent.
samedi 12 décembre 2009
Le cri
dimanche 6 décembre 2009
samedi 5 décembre 2009
Lacher prise
Toutes ces techniques fleurissent dans nos magazines , livres qui nous entourent, avec toutes les dérives qui y peuvent y être liées comme en management: comment être plus performant, comment être plus productif? Comment être plus ceci, comment être plus cela? Si telle chose ne passe pas avec les autres peut-être que je devrais changer ça en moi, ou alors ça?
dimanche 15 novembre 2009
Simon's Cat
Je viens d'en découvrir 2 que je ne connaissais pas et du coup j'en profite.
Ca sent le vécu et tout ceux qui ont des chats s'y reconnaitront.
Moi je suis complètement fan!
vendredi 13 novembre 2009
La chanson de Pénélope
C'est un chanson qui résonne en moi et que je trouve très belle de Loreena Mc Keenit
Elle s'inspire du mythe d'Ulysse et c'est ici Pénélope qui s'y dévoile.
Traduction:
La chanson de Pénélope
A présent qu'est venue l'heure
Le jour est vite passé
Là-bas, sur quelque rivage lointain
Tu m'entendras
Aussi longtemps que dure le jour en été
Aussi profondément que peut l'être une mer d'encre
Je garderai ton cœur près du mien
Jusqu'à ce que tu me reviennes
Là-bas, tel un oiseau je volerais
Haut dans les cieux
Cherchant à atteindre les pleins rayons du soleil
Uniquement pour t'y retrouver
Et quand la nuit nos rêves sont sereins
Ou quand le vent appelle la liberté
Je garderai ton cœur près du mien
Jusqu'à ce que tu me reviennes.
A présent qu'est venue l'heure
Le jour est vite passé
Là-bas, sur quelque rivage lointain
Tu m'entendras
Aussi longtemps que dure le jour en été
Aussi profondément que peut l'être une mer d'encre
Je garderai ton cœur près du mien
Jusqu'à ce que tu me reviennes
mercredi 11 novembre 2009
Princess Mononoke
J'ai la K7 mais vu que je peux plus la regarder, je suis tombée par hasard sur ce lien et ces vidéos qui permettent de le voir en entier de manière fractionnée.
Bon visionnage!
mardi 10 novembre 2009
Tristania
vendredi 6 novembre 2009
Portrait chinois
Si certains veulent le faire de leur côté sur leur blog qu'ils n'hésitent pas, ça peut être amusant et instructif ;)
mercredi 28 octobre 2009
dimanche 25 octobre 2009
samedi 24 octobre 2009
L'enfant
Allez tant que j'y suis, un petit écrit spontané à l'instant où je poste mon dessin, sans savoir où ça me mènera ;)
Enfant, tu regardes le monde de tes grands yeux
Ces adultes te semblent bien curieux
Toi, tu souris au vent et ris à la pluie
Ton insouciance fait tant envie
Alors....garde bien au chaud dans ton cœur
Cette part de joie et de fraicheur
Cette candeur qui s'éloigne parfois avec les heures
Mais qui permet de grandir avec plus de douceur
Toi, mon petit enfant intérieur, que j'écoute et protège quand tant préférait que je t'oublie
Tu es le gardien de mon cœur, de mon âme et de mes espiègleries
Et ma plus belle source de rêverie!
vendredi 16 octobre 2009
La marionnette
mardi 13 octobre 2009
Suivez moi

Je m'y suis plu à partir dans mes songes, mes rêves et un passé lointain mais ici si proche.
Cordes sur Ciel, enraciné dans la terre et nous permettant de toucher le ciel, de surplomber les terres, les vols des oiseaux, les forêts s'étendant à l'horizon.
Si je peux j'y retournerai lors de sa fête médiévale, histoire de me plonger encore un peu dans son histoire, de m'évader quelques jours dans un autre espace-temps, je suis sure que ce village s'y prête à merveille.
En attendant et parce que ce soir je suis d'humeur rêveuse et avant que d'autres rêves me rejoignent dans la nuit, je vous invite à me suivre à travers ces ruelles pour vous faire découvrir un peu de ce lieu magique et j'espère, si vous ne le connaissez pas, vous donner l'envie d'aller le voir si un jour vous passez par là-bas.
Grimpez le long de la rue, pour vous retrouver en contre bas de ses flancs...
Pour enfin arriver devant une porte de la ville...
Les gardes faisant sans doute la sieste, vous pouvez entrer sans hésitation
et vous hasarder au détour des ruelles....
Parfois vous passerez dans des passages plus sombres et vous cacherez à l'abri des regards...
Mais ne craignez rien, l'ombre n'existe pas sans lumière, alors continuez de me suivre....
Pour mieux surplomber le village et les alentours...
Tout comme le chat qui se camoufle et qui observe....
Alors nous rentrerons à nouveau par une porte de la ville..
Flânant le long des échoppes....
Admirant les nobles masures....
Et contemplant la vue tel un beau tableau...
Pour finalement s'en aller...
Le soleil se coucher....
Pour un jour y retourner et y voir le soleil s'y lever...
lundi 12 octobre 2009
samedi 10 octobre 2009
Momo sous toutes ses coutures
Il a été nommé Momo, suite à une petite erreur de reconnaissance d'identité sexuelle on va dire. A la base, l'ami en question pensait que c'était une femelle et l'avait appelé Morri en diminutif de la déesse Celte Morrigan, mais lors de ma venue je lui ais fais comprendre qu'il y avait un petit problème et que Morri était peut-être plus le diminutif de Maurice que de Momo en ce qui le concernait pour le coup....
Ah tant d'illusions tombées à l'eau d'un coup!
Hé bien tant pis parce que du coup moi je l'aime bien mon Momo! :)

mercredi 23 septembre 2009
Joyeux anniversaire Nicolas
Et c'est surtout pour moi l'occasion de te faire un petit dessin que je te donnerai en vrai quand je te verrai ;)
Bon j'ai un peu du mal à ne pas faire de traces vu que je débute avec la pastel.
Sinon pour le choix de l'oiseau, tu sais pourquoi ;)
Voilouuu, je n'en dis pas plus pour ici.
Juste meilleurs voeux et bisous!
mardi 22 septembre 2009
Au rythme des saisons....

Pour l'occasion, écrit à l'envolée...
Ta sève tel mon sang coule dans ton corps, et tes branches jouent avec le vent me sifflant doucement les doux chants de la nature.
Collée et enlacée à ton tronc, je sens ton cœur battre.
Que me dis-tu?
Ton langage est mystérieux, mais si tendre et si fort.
Il résonne en moi , en ma vie, en mes racines qui rejoignent les tiennes.
Dans la forêt, lorsque mes pas avancent sur la terre, une feuille me frôle et tu te penches.
Tu me guides là où je ne saurais voir.
Doucement je pose mes mains sur ton écorce et sens les années passées à être et non paraitre.
Toi mon ami l'arbre, tu es mon repère et mon allié. Tu as tant à m'apprendre sur toi et moi, sur la vie et les êtres.
Tout ce que tu vois, gardes et ne confie qu'à un cœur ouvert...me le donneras-tu...
Tu lis en mon âme, je deviens la tienne et je suis toi , sentant ta force et ta chaleur et n'écoutant que les battements de ton coeur...
lundi 21 septembre 2009
Roi de l'Oiseau

"C’est en 1524 que le jeu de l’oiseau est apparu pour la première fois au Puy-en-Velay. Cette coutume, instaurée bien longtemps auparavant par Charles V, consistait à abattre un oiseau de chiffon appelé le Papegaï (perroquet en occitan) d’un coup d’arquebuse ou d’une flèche.
Au Puy, les archers et arquebusiers qui s'étaient organisés en confrérie, avaient été autorisés par les consuls à tirer l'oiseau afin de créer une certaine émulation parmi les jeunes membres de leur confrérie, et les détourner ainsi de "suivre lubricité et tavernes ni s'occuper à mille autres passions et dissolutions en quoi jeunesse est sujette. "
Le tir de l'oiseau avait lieu chaque année le lundi de Pentecôte, d’abord sur la Tour des Farges, et plus tard sur la porte Saint Gilles.
Le vainqueur du tir de l’oiseau était proclamé roi pour une année, pendant laquelle il avait droit de porter l'épée, d'assister aux processions au rang des consuls et de commander une compagnie d’arquebusiers. On lui confiait en outre les clefs de la ville et il était exempté d'impôt.
Mais très vite, les arquebusiers considérèrent ces récompenses insuffisantes au vu des frais que le titre de Roi de l'Oiseau imposait à son bénéficiaire. En effet, celui-ci se devait entre autre, d'abreuver le public, de lui donner collation "et au soir à tous le souper, à raison de dix huit sols par teste" selon le chroniqueur Antoine Jacmon. Aussi pour ne pas laisser disparaître une festivité très appréciée, les consuls allouèrent au Roi de l'Oiseau dix livres par tournois, puis au siècle suivant cent Louis.
C’est ainsi que, malgré quelques interruptions, semble-t-il pendant la période trouble des guerres de religion, le tir de l'Oiseau se pratiqua régulièrement au Puy jusqu'à la Révolution. Il fallu attendre ensuite l'entre-deux-guerres pour voir, de 1920 à 1940 environ, la tradition reprendre vigueur au Breuil de Mercoeur à l'initiative de l'historien vellave Albert Boudon-Lashermes.
Enfin, c'est avec la création des Fêtes Renaissance du Roi de l'Oiseau en 1986 que la ville du Puy-en-Velay renoua une nouvelle fois avec cette tradition populaire et haute en couleurs."
vendredi 18 septembre 2009
Le survivant
J'ai gravi les pierres, traversé la poussière
Croisé les regards de ceux qui se terrent
Et de ceux qui jamais ne regardent en arrière
Ceux qui ont peur de voir la misère
Peur de quitter leurs repères
Peur de se reconnaître en leurs frères
Ou de s'écarter du chemin salutaire
Je suis le survivant d'un monde qui s'enterre
Un monde où misère rime avec égalitaire
Où chacun creuse plus profondément son cratère
Pour se rapprocher de l'enfer sur Terre
J'en ai côtoyé des qui se cachent derrière des causes humanitaires
Pour mieux faire des affaires
Afin d'atteindre le sommet de leur carrière
En vendant leur image à l'égal des plus prestigieux publicitaires
J'en ai côtoyé des qui condamnent leurs pairs
Sur leurs mœurs, leurs penchants, leurs tenues vestimentaires
Se jugeant bien plus dignes que ces prétendus tributaires
En passant leur temps à leur cracher leur venin de vipère
J'en ai aussi côtoyé des qui prétendent faire l'amour et pas la guerre
Répandant la bonne parole sur terre
Désignant les ennemis à leur cause planétaire
Dans leur bonté charitable, ils leurs jetteraient bien des pierres
J'en ai enfin côtoyé des qui se cachent derrière des discours sécuritaires
Pour mieux cacher leurs méthodes totalitaires
Des hommes bien sous tous rapports, assurant leurs arrières
Pour mieux vous prendre par derrière
Je me suis moi même parfois reconnu à travers ces travers
Mais malgré toutes mes larmes de verre
Je reste le survivant d'un monde qui s'enterre
Tentant de préserver mes rêves de cet enfer
Et j'espère...
Qu'un jour sous les gravats de ces calvaires
A travers le souffre et la poussière
Je verrais ressurgir les nouveaux primevères...
mardi 8 septembre 2009
mercredi 2 septembre 2009
La rôdeuse

Sur la terre de tes ancêtres
Tu rodes à la recherche de ton être
Soulevant la poussière à chacun de tes pas
Tu scrutes un signe venant de l'au-delà
Rôdeuse, tu défies les absences trompeuses
Te faufiles dans les ombres aventureuses
Observant le monde et ses tromperies scandaleuses
Tu songes à toutes ces alliances honteuses
Balayant amèrement tes espérances de rêveuse
Lasse de croire à des temps de paix
Qui sembleront n'arriver jamais
Tu te lèves digne et te mets à marcher
Car si de tous tes biens ils t'ont dépossédés
Nul ne peut t'enlever ta fierté
Tu connais ton nom et celui de ton passé
Tes souvenirs à jamais resteront gravés
Sur la terre de tes ancêtres, tu as prié
Tu as rendu hommage aux protectrices divinités
Afin que leurs noms ne soient jamais oubliés
Et ta promesse à jamais scellée.
mardi 25 août 2009
samedi 22 août 2009
jeudi 20 août 2009
Les Sept Plumes de l'Aigle

Ce livre raconte le périple de Luis Ansa, personnage réel, de son enfance dans la misère en Argentine, jusqu'à la rencontre d'un chaman, qui le poussera à se découvrir, à partir à la recherche d'autres lieux, de soi et de sa vie. A la recherche des sept plumes de l'aigle qui sont les secrets de la vie.
"Souviens toi que rien n'arrive pas hasard". Ceci est le secret de la première plume de l'aigle.
Histoire passionnante, emprunte de sagesse et de messages initiatiques.
Un extrait:
(je: luis ansa et il: le chaman)
J'ai bafouillé :
- C'est moi. Qui d'autre ?
Il a soupiré, la mine contrite, apparement accablé par mon ignorance crasse.
mercredi 19 août 2009
Qu'est-ce qui nous empêche d'être soi?
Et comme j'ai juste un peu envie d'écrire , je resterai juste sur cette question: qu'est-ce qui nous empêche d'être soi?
Oui pourquoi parfois on refuse de pleinement faire, dire ce que l'on voudrait? Est-ce forcément en fonction de ce que les autres pourraient penser de nous? Ou ce que nous projetons sur ce que nous croyons que les autres pourraient penser de nous? Sur l'hypothèse des conséquences possibles? N'est-ce pas plutôt nous qui sommes perpétuellement en train de nous juger par rapport aux croyances que nous avons acquises, parfois bien malgré nous, et sur nous-mêmes?
Et quand bien même cela serait un mélange de tout ça , qu'est-ce qui nous ferait mal tout au fond dans ce que les autres pourraient penser ou nous renvoyer de nous?
Je pense que selon notre vécu cela peut être une peur de l'abandon, une estime de soi qui se construit plus dans le regard des autres que dans le notre, ou tant d'autres choses encore.
Mais je n'ai aucune réponse, ou du moins aucune figée, je lance juste toutes ces questions en vrac parce que le questionnement fait parti du cheminement sur notre pensée et la conscience de notre être.
Bien sur qu'il ne faut pas toujours penser qu'à soi dans chacun de ses actes et il faut aussi savoir que leur impact peut influer sur les autres. Mais jusqu'à quel point ces autres doivent rentrer en ligne de compte dans la manière de vivre notre vie? Où sont les limites entre la prise de conscience de soi et la place que l'on accorde aux autres et celle que l'on doit se donner et qu'on a le droit de prendre?
Si je dis tout ça, ce n'est peut-être pas tant pour trouver des réponses même si je ne les rejette pas, mais c'est sans doute parce qu'au plus profond de moi, et par rapport à ma propre expérience, ma personnalité et ma sensibilité, ça me fait mal et me met en colère de voir des personnes qui se renient et qui peuvent être amenée à se détruire quand elles prennent conscience de ce reniement et tant qu'elles n'arrivent plus à savoir comment apprendre puis être elles-mêmes.
Peut-être parce que ça me ramène à beaucoup de choses intérieures, vécues et non dépassées et que j'avais juste besoin et envie d'en parler.
Parfois je dirai que quand on a mal aux autres c'est aussi parce qu'on a mal à soi et que leur douleur nous ramène à quelque chose de nous-même. Alors parfois on le rejette, on juge, pour ne pas se laisser atteindre, et puis quand on y arrive on l'accepte, on dépasse le jugement, on se détache , on ne rajoute pas les douleurs des autres aux siennes, on va au delà et on rentre dans la compréhension et l'écoute. Mais parce qu'il faut faire face à tous ces démons et à toute notre imperfection, à tout ce qu'on ne veut pas voir ou accepter de soi, toutes les pensées et réactions qu'on peut se défendre d'avoir mais qui sont là malgré tout, pour toutes ces raisons là, que c'est difficile parfois d'être pleinement à l'écoute de soi et des autres! Mais quelle satisfaction quand on y arrive! :)
mardi 18 août 2009
De la servitude volontaire à la prise de conscience
Après mon sentiment sur ce reportage c'est qu'il n'est pas là pour cautionner un fatalisme, pour culpabiliser chacun de nos actes et ne montrer que la laideur de notre monde, mais pour montrer que d'autres choix sont possibles, même s'ils sont moins confortables dans un premier temps, ils s'avèrent aussi indispensables pour la suite , pour nous mêmes et la planète sur laquelle on vit, pour notre humanité en laquelle je crois encore.
Il est humain de se raccrocher à nos rêves, mais faisons en sorte que ceux-ci soient sains , constructifs, et non pas ceux conditionnés et véhiculés par cette société totalitaire marchande destructrice.
Il est humain de vouloir voir le beau, de ne pas s'enfoncer dans la morosité, ce n'est pas non plus comme ça qu'on avance, mais essayons de voir que la beauté n'est pas non plus celle des couvertures de magazines ou celle qui s'étalent dans les vitrines.
Il est humain de vouloir se sentir vivre, de vouloir avoir accès au bonheur, mais prenons conscience que le bonheur n'est pas forcément celui qu'on nous vend.
Il est humain de vouloir ressentir, mais les émotions les plus profondes et humaines ne sont forcément celles que l'on achète.
Sans rentrer dans une forme de radicalité ou d'intégrisme, tentons juste chacun comme nous le pouvons de nous libérer un peu plus chaque jour des chaînes que nous avons acceptées parce que nous avons été conditionnés pour le faire. Se déconditionner est un combat de chaque jour.
Selon moi c'est apprendre à voir autrement, à penser différemment de tous les discours dont on nous a rabaché les oreilles depuis que nous sommes ici, pour enfin pouvoir vivre autrement et se donner ce droit là. Parce que personne sur cette Terre n'a été nommé par qui que ce soit pour vous dire, à partir du moment où vous avez conscience des uns et des autres, comment mener votre vie, et décreter que seule une voie était possible.
Enfin sur ce je laisse place au reportage qui le montrera et le dira bien mieux que moi.
Action/Réaction + Résistance/Révolution = Liberté _ p.1#3
envoyé par ZenM68. - Découvrez des webcam de personnalités du monde entier.
Action/Réaction + Résistance/Révolution = Liberté _ p.2#3
envoyé par ZenM68. - Rencontrez plus de personnalités du web.
samedi 8 août 2009
Omnia- Pagan Polska
vendredi 7 août 2009
Psycat
( c'est ça, c'est ça...Et ma boite de thon c'est pour quand?...)
dimanche 26 juillet 2009
Spectacle Hippogriffe: Fête médiévale de St Ambroix
Au delà du dressage de ces rapaces nés en captivité mais qui restent néanmoins sauvage, il faut savoir qu'il existe un véritable respect pour eux, et de réels affinités qui se sentent. Ce n'est pas un spectacle crée pour un coté grandiose mais plus pour faire découvrir ce que l'on peut faire ou pas avec du temps et de la patience avec des animaux qu'ils cotoient tous les jours. Tous les exercices montrés ne réussissent pas toujours car l'animal fait d'abord comme il le sent et ce n'est pas plus mal ^^
Tout le temps de la démonstration est parsemée d'histoires sur le mode de vie de chacun des rapaces.
Quand au cheval, et à l'écuyère, on perçoit clairement la complicité réciproque qui les lie.
J'insiste sur cet aspect parce que certains spectacles sont plus là pour éblouir que pour apprendre, et sont plus dans la recherche du grandiose que dans le véritable respect des animaux sans qui les dresseurs ne seraient pourtant que peu de chose....
j'ai un doute sur l'espèce, donc je me tais, mais juste pour vous montrer qu'il s'était réfugié tranquillement sur les fenêtres d'une batisse juste à coté.
Et ensuite qu'ils les font monter sur la croupe et la crinière du cheval, ce qui n'est pas si simple que ça en parait et encore moins naturel pour le cheval.